Plusieurs associations (Les habitants vigilants de Gondrecourt-le-château, Bure Zone Libre, EODRA, CEDRA 52, Burestop 55) opposées au projet de stockage de déchets nucléaires à Bure se sont associées pour organiser en matinée quatre marches convergentes vers le "laboratoire de Bure" que l’ANDRA - l'Agence nationale de gestion des déchets radioactifs - voudrait transformer en Centre d’enfouissement des déchets les plus radioactifs (CIGEO) courant 2017. A partir de midi, sont prévus diverses animations et un grand rassemblement : une chaîne humaine clôturera la journée.
"100 000 Pas à BURE" a pour but de mobiliser tout un chacun sur la confiscation des terres et forêts en cas de réalisation de ce stockage souterrain imposé. CIGEO est un projet inacceptable, à hauts risques technologiques, dont la faisabilité est impossible à prouver.
Au-delà de quoi, c'est...
Communiqué commun de la Coordination Burestop, Réseau "Sortir du nucléaire", France Nature Environnement, les Amis de la Terre France
Bure ou l’art de bâtir des pyramides avec des cacahuètes...
Alors que le Sénat vient d’intégrer à la loi Macron un amendement permettant la concrétisation de Cigéo, ce site d’enfouissement des déchets radioactifs les plus dangereux, les associations interpellent les parlementaires*. En sus de l’ensemble de la problématique complexe que soulève le projet Cigéo, sont-ils vraiment conscients des coûts de ce projet ?
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LUNDI 4 MAI 2015 à 22H50, CANAL + a diffusé dans son émission "Spécial investigation" ce documentaire de Jean-Baptiste Renaud
Nucléaire : la politique du mensonge ?
https://www.criirad.org/mobilisation/img/sourcesa_recuperer.pdf
Note d'information de la CRIIRAD
du jeudi 29 avril 2015
Areva, le Mox et le plutonium : le « business model » d’une catastrophe nucléaire ?
Nucléaire : et si on s’intéressait aux installations militaires secrètes ?
EDF sait-elle vraiment démanteler ses centrales nucléaires ?
Nucléaire français : la culture de la sécurité en voie de disparition
Nucléaire : « Nous faisons face à une machine démesurée »
DIFFUSION : LUNDI 4 MAI 2015 A 22H50 CANAL+
Une enquête de Jean-Baptiste Renaud
Production : Premières Lignes Télévision
Durée : 52 min
Depuis 40 ans, on nous répète que le nucléaire français serait « sûr », « propre » et « bon marché ». Trois « atouts » qui sont en réalité plus que contestables. Pour enquêter sur un accident nucléaire, pas besoin de voyager jusqu'à Fukushima ou Tchernobyl. Il nous a suffi de prendre le train pour le Loir-et-Cher. Dans la centrale nucléaire de St Laurent des Eaux, deux des dix plus graves accidents nucléaires du monde se sont produits, en 1969 puis en 1980. Grâce à des documents confidentiels restés secrets pendant 35 ans, notre enquête révèle pour la première fois que suite à l'accident de 1980, EDF a sciemment rejeté du plutonium dans la Loire. Une pratique totalement illégale selon notre enquête.
En 2008, pour convaincre...
Le 28 février 2015, plus de 100 m3 d’eau se sont déversés dans la salle des machines du réacteur 1 de la centrale de Fessenheim, éclaboussant des boîtiers électriques et provoquant un défaut d’isolement sur un tableau électrique. Une seconde fuite s’est produite le 5 mars 2015. Le Réseau "Sortir du nucléaire" et 4 associations antinucléaires alsaciennes ont décidé de porter plainte.
La centrale nucléaire de Fessenheim
Le site de Fessenheim abrite la centrale nucléaire exploitée par EDF dans le département du Haut-Rhin, à 23 km de Colmar et 26 de Mulhouse. Le site se trouve à 1,5 km de l’Allemagne et à environ 40 km de la Suisse.
Cette centrale nucléaire est constituée de 2 réacteurs à eau sous pression d’une puissance de 900 MW. Les réacteurs 1 et 2 constituent l’installation nucléaire de base (INB) 75.
Dans son appréciation 2014,...
Plusieurs membres de SDN Berry-Giennois-Puisaye ont rejoint Fessenheim pour cet événement.
Dépêche AFP
Environ 3.500 antinucléaires, selon la gendarmerie et les organisateurs, notamment des ressortissants allemands, ont manifesté dimanche devant la centrale de Fessenheim (Haut-Rhin), pour réclamer sa fermeture immédiate et commémorer le 29e anniversaire de la catastrophe nucléaire de Tchernobyl.
Organisé par de nombreuses associations antinucléaires allemandes, françaises et suisses, le rassemblement a été ponctué de concerts et de prises de parole de parlementaires écologistes des trois pays, avec le député EELV Denis Baupin côté français.
La manifestation se voulait aussi un message à François Hollande.
"François Hollande a fait une promesse aux Français, celle de fermer Fessenheim", a dit André Hatz, porte-parole de l'association Stop Fessenheim, interrogé par l'AFP.
Plus...
Un grand incendie fait rage depuis deux jours dans la zone interdite autour de la centrale de Tchernobyl. Malgré la présence sur place de 350 pompiers ukrainiens et de trois avions bombardiers d’eau, des centaines d’hectares ont déjà été la proie des flammes. Les autorités expliquent qu’il n’existe aucun risque de radioactivité puisque le foyer se trouve à une dizaine de kilomètres des réacteurs à l’arrêt et de celui qui a explosé il y a vingt-neuf ans....www.politis.fr/Alerte-a-la-radioactivite-la-foret,30975.html
Fuite radioactive confirmée au Tricastin : EDF avoue avoir menti
dimanche 8 février 2015
EDF a menti. Le 31 décembre 2014, le réacteur délabré n° 4 de la centrale nucléaire EDF du Tricastin se mettait en arrêt d'urgence (scram) après une tentative de redémarrage. Un dégazage accompagné d'un immense panache de fumée suivait des bruits assourdissants de sifflements et de détonations. Les détonations de sur-pressions furent entendues jusqu'à 12 km au-delà du site nucléaire. Alors que l'organisation indépendante "Next-Up" révélait que ses mesures démontraient des rejets de radioactivités dans l'air, EDF affirmait la main sur le cœur qu'il n'en était rien. Aujourd'hui, EDF avoue publiquement qu'il a menti : oui il y a bien eu des rejets radioactifs. Du tritium ... et peut-être d'autres contaminants radioactifs.
Samuel Gontier
Publié le 06/10/2009. Mis à jour le 08/10/2009 à 16h21.
Intuition et patience : telles sont les deux vertus qui ont permis à la réalisatrice rennaise de signer un film très éclairant sur la première centrale française destinée à être démantelée. Un réacteur expérimental construit en Bretagne dans les années 1960, bref, une toute petite centrale… qui pose un problème colossal.
C'est en 2000, en tournant L'Affaire Plogoff (du nom de cette centrale qui ne fut pas construite à cause de l'opposition des Bretons), que la documentariste Brigitte Chevet entend pour la première fois parler, par un cadre d'EDF, du démantèlement de la centrale de Brennilis. Personne ne s'y intéresse ? Brigitte Chevet, elle, décide d'aller voir… Elle y passera cinq ans. Et finalement, « l'attente a payé, les“ affaires” sont arrivées ». Alertée par la gravité des rejets occasionnés,...
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